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| - 1949 Corneille entreprend son premier voyage en Afrique du Nord où il découvre le monde Arabe et Berbère. Première exposition (collective) à Paris avec Appel et Constant à la Galerie Colette Allendy. Manifestation Cobra au Stedeljik Museum d’Amsterdam. 1953 Corneille s’initie à la gravure à l’eau forte dans l’atelier de Stanley Hayter à Paris. Après avoir évolué vers l’abstraction (paysagisme abstrait) après la dislocation du groupe Cobra dans le milieu des années 1950, Corneille revient à la figuration au début des années 1960. Impressionné par la luxuriance de la nature dans certains pays visités (Afrique, Amérique du Sud, Mexique...), il retrouve le vocabulaire expressionniste et passionné de la période Cobra. Dans ses œuvres récentes, empreintes de lyrisme, la femme (qui représenterait la terre dans le langage de l’artiste), l’oiseau (l’élément masculin et l’artiste lui-même), le soleil et le serpent (symboles du sexe féminin et masculin) ainsi que le chat sont omniprésents. Corneille a appris les techniques de l’estampe en 1953 à Paris, dans l’atelier de Stanley Hayter. Ses premières sculptures en bois polychrome datent de 1992 et ses premières céramiques datent de 1954. 1977 Publication de plusieurs albums photographiques consacrés à ses voyages en Afrique et à sa collection d’art Africain. Etablit ses premiers contacts avec le monde asiatique (Chine, Japon, Indonésie). 1982 / 1992 Nombreuses expositions et développement de l’œuvre graphique entreprise dés 1948. Plusieurs monographies lui sont consacrées. 1992 Premières sculptures en bois polychrome. Séjour en Afrique pour le tournage d’un film, réalisé par Jos Wassink, qui sera diffusé à l’occasion de l’exposition conçue par Ronald A.R. Kerkhoven : Corneille, le visage Africain, au Museuon, (La Haye). 2008 Un hommage lui est rendu du 12 avril au 31 août à Auvers-sur-Oise où quatre lieux exposent ses oeuvres : l'église, le château, le musée Daubigny et la galerie d'art contemporain. Voir sur le site de l'Office Municipal de la Culture
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