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| - Etudions en détail ce mouvement de sautillement si gracieux qui permet à la pastèque, lorsqu'aucun témoin occulaire n'est présent aux alentours, de se mouvoir à sa guise. Image:Pastèque1.png L'élan est indispensable à la réalisation du mouvement. Les muscles inférieurs se préparent à se tendre tandis que le cerveau envoie une impulsion qui fait que l'organisme entier se rétracte sur lui même. Admirez la beauté du geste, la nature est bien faite, quand même. Image:Pastèque2.png Et c'est le bondissement. Les muscles inférieurs se contractent et font jaillir la pastèque à quelques mètres. Image:Pastèque3.png Vient ensuite le retourné. Par un phénomène physique naturel, comparable au phénomène d'électrisation par influence dans un corps chargé, le poids de son cerveau fait basculer la pastèque. Image:Pastèque4.png On en arrive au rebondissement. La matière grise de la pastèque est d'une resistance à toute épreuve. Le cerveau sert ici d'amortisseur, avant de propulser de nouveau la pastèque dans les airs. Image:Pastèque5.png C'est la propulsion en question. Les étapes 3, 4 et 5 seront ainsi répétées jusqu'à ce que la pastèque arrive à destination. (NB : La pastèque de l'exemple a eu la sagesse, et nous l'en félicitons, de traverser dans les clous. Dans le cas contraire, il faut généralement rajouter une étape au déplacement :) Image:Pastèque6.png (NB(2): La pastèque n'use pas tout son précieux temps à rebondir. Pour les longs trajets, elle préfère utiliser le RER. La densité de la foule a parfois, après de multiples trajets, des effets désastreux sur la créature.) Image:Pastèque rer.png
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