Il existe en tout et pour tout 40 symboles différents. Cela semble peu mais en réalité, Armand Prince a parfaitement étudié le problème. En assimilant une part importante de la littérature pornographique depuis les écrits du Marquis de Sade jusqu’aux textes fondateurs de l’Artoughisme (2008-2009), il s’est rendu compte que chaque œuvre ne comportait jamais plus d’une douzaine de connotations sexuelles différentes (plus généralement entre 5 et 10) et qu’au total, une quarantaine de symboles devraient suffire à couvrir toutes les possibilités.
Il existe en tout et pour tout 40 symboles différents. Cela semble peu mais en réalité, Armand Prince a parfaitement étudié le problème. En assimilant une part importante de la littérature pornographique depuis les écrits du Marquis de Sade jusqu’aux textes fondateurs de l’Artoughisme (2008-2009), il s’est rendu compte que chaque œuvre ne comportait jamais plus d’une douzaine de connotations sexuelles différentes (plus généralement entre 5 et 10) et qu’au total, une quarantaine de symboles devraient suffire à couvrir toutes les possibilités. Réaliser la synthèse de toutes ses notions ne fut toutefois pas chose facile et il fallut près de 15 ans à Armand Prince pour mettre au point son « alphabet » qui est en réalité plus proche du dictionnaire, voire du lexique.